Est-ce-qu'on peut validé le coefficient de comportement ....

salut ts le monde
svp abdou es ce que veut tu m'expliquer comment valider R ds le sap et etabs je les étulise mais pas souvent de tous petite indication me suffit
merci d'avance A+.

le prochaine reglementation parasismique exclurera indirectement le coefficient de comportement qsui est un paramètre aléatoire basé sur des essais de ductilité .
une nouvelle approche ""ATC40 "" traité meme par robot bat , cette méthode s'intitule "" performance point ""
c'est le point de concour entre deux courbes déssipatives ..........

Un autre élément important de la démarche ATC 40 qui met bien en évidence les niveaux de
« performance » dans le domaine de comportement non linéaire de la
structure. En fait, c’est une démarche nouvelle qui est demandée à l’ingénieur
qui, traditionnellement et pour simplifier, utilise une méthode en forces, réduites artificiellement
avec le fameux coefficient de comportement (R ou q) pour garder la méthode de
calcul dans le domaine élastique.

Si l’on veut effectivement évaluer les
« performances » d’une structure, au-delà du domaine élastique, il
est difficile d’utiliser le paramètre force, compte tenu de la progressivité
des dommages qui sont plus sensibles aux déplacements
imposés.

C’est la raison pour laquelle, l’ATC 40 met l’accent sur
l’intérêt d’utiliser des méthodes d’évaluation du comportement non linéaire statique
des structures, encore appelées PUSH OVER. Ces méthodes conduisent à définir
une courbe dite de capacité

l’enveloppe des chargements hystérétiques qui
peuvent se produire pendant un séisme et peut être considérée comme un bon indicateur des performances postélastiques d’une structure, tout au moins
lorsque celle-ci est suffisamment régulière et donc peu sensible aux phénomènes de torsion, dans les approches actuelles.

La mise en œuvre de cette méthode nécessite qu’à la fois la « Demande », sous la forme d’uneréponse spectrale et la « Capacité », sous la forme d’une courbe de capacité non linéaire, obtenue à partir par exemple de la technique dite « PUSH OVER », soit représentée sur un graphique ayant les mêmes coordonnées.
Ces coordonnées seront les accélérations spectrales Sa et les déplacements spectraux Sd, qui pourront aussi s’appeler A et D. Ce « format » avait été introduit par Mahaney, dès 1993, sous le nom ADRS (Acceleration Displacement Response Spectra).


En fait, il ne faut plus l’appeler ainsi car
les courbes ainsi obtenues ne sont pas à proprement parler des spectres, en particulier la courbe de capacité qui peut alors s’appeler diagramme de
capacité (remarques de Chopra, 1999).

choft rachid!
je sai beli lazam ncherchilek bach tahder , ya wlid bladi
merci , mais mnin thak parle wa7dek

merci RACHID pour ces informations, en attendant de nouveau sur ce sujet....

salam! pour ceux qui cherchent prendre une idée sur ce coeficient ; voir ça:
http://www.argenco.ulg.ac.be/Download/SE/coursism/Chapitre03.pdf

et merci Imane!

merci. abdou
j'ai remarqué la disparaition du livre plumier "" j'ai pas trouvé sa trace , le chapitre que tu as envoyé fait partie de ce livre ,, refraiches ma mémoire pour le télécharger

ih ta3 imane!
et j'ai dit merci iman!

merci iman

http://www.geniecivil.org/Documents-c2/Genie-parasismique-DDS-f27/transfert-de-sollicitations-dans-les-portiques-mixtes-t1417.htm

les gents dissent: wara-a kol rajol 3athim imra-a
ana n9ol : wara-a kol ingenieur 3athim iman

quoi de neuf

salam! rachid ça va?
Pour bien comprend ce coefficient , voir livre de Mr DAVIDOVICI "la construction en zone sismique"
j'ai vu aussi des exemples a la fin de ce livre tres interessants. http://www.geniecivil.org/Documents-c2/Genie-parasismique-DDS-f27/LIVRE-DE-DAVIDOVICI-t1351-0.htm